Paris, le 31 mars 2025 –
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Van Cleef & Arpels renforce ses liens historiques avec le monde de la danse en orchestrant la deuxième édition de son festival Dance Reflections, qui se tient actuellement à Londres.
La maison de haute joaillerie, connue pour ses créations inspirées par le mouvement et la grâce des arts vivants, déploie cette année une programmation internationale à travers plusieurs institutions culturelles majeures, dont Sadler’s Wells, le Royal Opera House, la Tate Modern et le Southbank Centre.
Cette initiative s’inscrit dans une tradition établie au début du XXe siècle, lorsque Louis Arpels, amateur de ballet, fréquentait régulièrement l’Opéra de Paris.
Cette passion pour la danse a influencé la création de bijoux dès les années 1940, notamment avec les célèbres clips de ballerines, en diamants et pierres précieuses.
Le festival a été lancé en 2022, marquant une nouvelle phase dans l’engagement de la maison avec le monde chorégraphique.
L’histoire de cette relation remonte aux années 1960, via un partenariat avec George Balanchine, cofondateur du New York City Ballet.
Aujourd’hui, Dance Reflections s’impose comme une plateforme de diffusion, de soutien et de dialogue artistique à l’échelle mondiale.
« Quand j’ai rejoint la maison, il n’y avait ni nom, ni logo, ni équipe », explique Serge Laurent, directeur des programmes danse et culture de Van Cleef & Arpels. « Nous avons lancé ce projet à Londres, avec l’envie de construire quelque chose de durable. Aujourd’hui, nous avons plus de 60 partenaires dans 16 pays. »
L’édition 2025 du festival se distingue par un équilibre entre tradition et expérimentation.
Le programme comprend aussi bien des pièces historiques de Balanchine, telles que Sérénade (1935) et Prodigal Son (1929), que des créations contemporaines comme Giselle… de François Gremaud ou Hagay Dreaming, une œuvre hybride signée Shu Lea Cheang et Dondon Hounwn.
Les propositions couvrent un large spectre esthétique, intégrant performances, ateliers et installations audiovisuelles.
Laurent insiste sur l’importance d’une approche curatoriale ouverte :
« Nous choisissons des artistes très différents, mais chacun a trouvé sa propre voix. Ce qui m’intéresse, c’est la capacité à repousser les limites, parfois de manière radicale. »
Avec une ambition assumée d’amener la danse contemporaine à de nouveaux publics, Dance Reflections poursuit jusqu’au 8 avril, consolidant un modèle où la haute joaillerie devient mécène actif des scènes artistiques internationales.
Le lien remonte aux années 1920 avec Louis Arpels, passionné de ballet, qui fréquentait l’Opéra de Paris.
Cette affinité s’est traduite dans la création de bijoux dès les années 1940, notamment les célèbres clips de ballerines en pierres précieuses.
Crédit photographie : Van Cleefs & Arpels
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