Paris, le 31 octobre 2024 –
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Kering, le groupe de luxe français et maison mère de Balenciaga et Gucci, vient de franchir une nouvelle étape dans son engagement en faveur de la durabilité environnementale.
En partenariat avec la Global Commons Alliance et le Science Based Targets Network (SBTN), l’entreprise a dévoilé une série d’objectifs ambitieux visant à protéger la biodiversité et à limiter son empreinte écologique.
Cette annonce intervient alors que la pression sur les entreprises pour intégrer des objectifs de durabilité fondés sur la science s’intensifie.
Dans le cadre de ce plan, Kering vise une réduction de 21 % de sa consommation d’eau douce et une diminution de 3 % de son utilisation des terres d’ici à 2030, tout en cessant l’approvisionnement en cuir provenant de terres déboisées.
Cette décision positionne Kering parmi les pionniers de l’industrie de la mode en matière de durabilité, devenant ainsi la première entreprise de son secteur à adopter des objectifs spécifiques pour la nature, selon les normes établies par le SBTN.
Une transformation systémique pour l’industrie de la mode
L’annonce de Kering intervient dans un contexte où les entreprises du secteur privé sont de plus en plus sollicitées pour prendre des mesures concrètes face à la crise de la biodiversité. «!– /wp:paragraph –>
Le groupe de luxe partage cet engagement avec d’autres grandes entreprises internationales telles que GSK et Holcim, rejoignant ainsi les rangs des premiers adoptants des objectifs naturels.
Ce mouvement marque une rupture avec les approches traditionnelles de la durabilité, en affirmant la positivité environnementale et la restauration de la nature au cœur de la stratégie d’entreprise.
L’adoption des objectifs de durabilité pour la nature pourrait également inspirer d’autres entreprises de l’industrie de la mode, qui sont souvent pointues du doigt pour son impact écologique.
En se positionnant en leader sur ces questions, Kering renforce sa position de pionnier dans le secteur, et ce, dans un contexte où la demande des consommateurs pour des produits respectueux de l’environnement ne cesse de croître.
Conclusion
Alors que les défis liés à la préservation de la biodiversité deviennent de plus en plus pressants, l’initiative de Kering pourrait non seulement redéfinir les normes de durabilité dans l’industrie de la mode, mais aussi exercer une pression positive sur d’autres entreprises.
Pour Kering, ces nouveaux objectifs représentent une étape clé dans la construction d’un modèle économique respectueux de la planète, en adéquation avec les valeurs de ses marques emblématiques.
Le succès de cette transformation dépendra de l’efficacité de la mise en œuvre et de l’adhésion de ses partenaires tout au long de la chaîne de valeur.
Kering s’engage à réduire de 21 % sa consommation d’eau douce et de 3 % son empreinte foncière d’ici 2030.
Le groupe vise également à ne plus s’approvisionner en cuir provenant de terres déboisées pour le pâturage des animaux.
- Crédit photographie : Kering
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Ce nouveau cadre de durabilité pour la nature, élaboré par le SBTN, marque un tournant stratégique pour Kering. «!– /wp:paragraph –>
Selon elle, cette initiative est essentielle pour assurer une transformation systémique, avec des actions concrètes sur l’eau douce et les écosystèmes terrestres, particulièrement dans des régions critiques comme le bassin de l’Arno en Toscane.
Dans le cadre de ce projet, les opérations de Kering, y compris ses tanneries et les usines de ses fournisseurs, devront réduire leur consommation d’eau et respecter les normes strictes de gestion environnementale.
Le groupe s’engage également à développer des pratiques d’agriculture régénératrice sur plus de 1,7 million d’acres de paysages d’approvisionnement, visant à restaurer la biodiversité et à atténuer la perte de nature tout au long de sa chaîne de valeur.
Un engagement renforcé en faveur de la biodiversité
Kering s’engage à ce que 100 % de son cuir provienne de terres non converties ni déboisées pour le pâturage d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire pour le cuir européen dès 2025.
En complément, le groupe prévoit de renforcer l’utilisation de certifications pour d’autres matières premières, telles que le bois et le caoutchouc, pour garantir un approvisionnement durable.
Ces engagements ont été officialisés lors de la COP16 sur la biodiversité à Cali, en Colombie, ont souligné l’alignement de Kering avec les objectifs globaux de protection de la nature adoptés lors de la COP15. Cette initiative s’inscrit dans le cadre plus large de l’accord mondial visant à protéger 30 % des écosystèmes naturels d’ici 2030, signé par 200 gouvernements.
Vers une nouvelle ère de durabilité
L’annonce de Kering intervient dans un contexte où les entreprises du secteur privé sont de plus en plus sollicitées pour prendre des mesures concrètes face à la crise de la biodiversité. «!– /wp:paragraph –>
Le groupe de luxe partage cet engagement avec d’autres grandes entreprises internationales telles que GSK et Holcim, rejoignant ainsi les rangs des premiers adoptants des objectifs naturels.
Ce mouvement marque une rupture avec les approches traditionnelles de la durabilité, en affirmant la positivité environnementale et la restauration de la nature au cœur de la stratégie d’entreprise.
L’adoption des objectifs de durabilité pour la nature pourrait également inspirer d’autres entreprises de l’industrie de la mode, qui sont souvent pointues du doigt pour son impact écologique.
En se positionnant en leader sur ces questions, Kering renforce sa position de pionnier dans le secteur, et ce, dans un contexte où la demande des consommateurs pour des produits respectueux de l’environnement ne cesse de croître.
Conclusion
Alors que les défis liés à la préservation de la biodiversité deviennent de plus en plus pressants, l’initiative de Kering pourrait non seulement redéfinir les normes de durabilité dans l’industrie de la mode, mais aussi exercer une pression positive sur d’autres entreprises.
Pour Kering, ces nouveaux objectifs représentent une étape clé dans la construction d’un modèle économique respectueux de la planète, en adéquation avec les valeurs de ses marques emblématiques.
Le succès de cette transformation dépendra de l’efficacité de la mise en œuvre et de l’adhésion de ses partenaires tout au long de la chaîne de valeur.
Kering s’engage à réduire de 21 % sa consommation d’eau douce et de 3 % son empreinte foncière d’ici 2030.
Le groupe vise également à ne plus s’approvisionner en cuir provenant de terres déboisées pour le pâturage des animaux.
- Crédit photographie : Kering
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